Dans les établissements scolaires, une mauvaise acoustique peut entraîner des difficultés de concentration, favoriser le stress et la fatigue des élèves et des étudiants. Les bâtiments construits avant l’entrée en vigueur d’une réglementation acoustique spécifique sont particulièrement problématiques. Comment corriger ces défauts ?
Des performances acoustiques très variables avant 1995
Jusqu’au milieu des années 1990, seules les recommandations de l’Éducation nationale venaient orienter les choix de construction en matière d’isolation acoustique et phonique. L’entrée en vigueur des dispositions de l'arrêté du 9 janvier 1995 relatif à la limitation du bruit dans les établissements d'enseignement a changé la donne.
Les critères d'isolation de l'enveloppe extérieure, des parois intérieures et les qualités d'absorption sont alors soumis à un cadre légal. Les normes acoustiques s'appliquent à la construction neuve de tous les bâtiments d'enseignement publics ou privés, depuis la maternelle, jusqu’à l’université.
Aussi, les professionnels de la rénovation acoustique notent des problématiques bien plus importantes dans les bâtiments construits avant 1995, avec des répercussions sur la qualité de l'apprentissage.
Les défauts acoustiques courants
Sur ces bâtiments anciens, l'inconfort acoustique est en partie causé par la réverbération du son. L’effet prend de l’ampleur dans les grands volumes comme les réfectoires et les salles polyvalentes.
Les chemins de circulation sont aussi à traiter. Le son émis par les voix, les pas et les chocs rendent les couloirs très bruyants et peut affecter le confort dans les salles où l’acoustique n’a pas été corrigée.
Les traitements absorbants jouent ici un rôle important en évitant la propagation du bruit et son amplification. S’y ajoutent les opérations d'isolation acoustique et phonique plus classiques visant à réduire la diffusion des bruits aériens ou solidiens entre deux pièces.
Les nouvelles bonnes pratiques issues de l'évolution réglementaire
Cette évolution réglementaire a eu pour effet de généraliser les actions de traitement acoustique des murs et la mise en place de faux plafonds absorbants. Cette dernière solution s’est révélée particulièrement efficace dans la mesure où elle réduit le volume de diffusion du son, tout en lui opposant une surface absorbante et isolante.
Chez Clipconcept, les dalles de rénovation de plafond à clipser sont dotées de propriétés acoustiques avancées. Le confort dans la salle de classe s’en trouve nettement amélioré. L’option dalle acoustique présente des microperforations traversantes permettant d'absorber les nuisances plutôt que de les réfléchir.
Grâce au système de fixation breveté Clipconcept, les dalles acoustiques s'installent facilement sur n'importe quelle ossature T24. Le design simple et élégant permet également une intégration parfaite dans les établissements d'enseignement anciens ou modernes. Par ailleurs, les dalles peuvent aussi être installées au mur pour créer un environnement encore mieux protégé contre les nuisances sonores.